Concours de la résistance 2010
  La naissence de la resistance en france et les représsions.
 

La résistance naissante en France et la répression


Les conditions des vainqueurs


L’occupation du territoire métropolitain ne sera que partielle et soumise au régime de l’occupation militaire. L’empire coloniale ne sera pas occupé. La flotte et l’aviation française ne sera pas livré . Pourtant la Royal Navy s’empare le 3 juillet 1940 à Mers el Kebir des navires français réfugiés dans les ports britannique, emprisonnent les officiers et marins. La royal Navy torpille les bâtiments français. C’est une catastrophe : 1297 morts. Malgré l’appel du Général de Gaulle, beaucoup de militaires optent pour le retour en France. La zone libre a été dès 1940, le lieu du début de la résistance.


 

Mers El Kebir



Le début de la Résistance à l’occupant


Après l’armistice de 1940, la défaite avait un « goût âpre ». Dans certains milieux, la revanche devenait la force d’être et de garder l’espoir. Autour du Général de Gaulle, commença alors un réseau de renseignements qui se tissait sur le sol français grâce aux actions de Maurice Duclos. Les français étaient persuadés que la tâche du général Pétain et celle du Général de Gaulle n’étaient pas opposées : l’un avait la charge de protéger la France, l’autre celle de relever le gant.

La résistance qui se crée sur le sol français se lève sans le Général de Gaulle et parfois contre lui. Vichy accorde des visas aux envoyés de Londres et donne parfois des renseignements sur les allemands. Vichy, tout au moins au début, a aidé la Résistance. De Gaulle refuse la collaboration avec le régime de Pétain et s’active pour mettre en place des comités anti-Pétain. Fourcaud chargé par De Gaulle d’implanter ceux-ci ne le fera pas et travaillera pour réconcilier Vichy avec les anglais.

Bien loin d’être unie, la Résistance prenait son envol et devait être le moteur de la libération de la France.



                                                       

Maurice Duclos                                               Fourcaud


Engagement des résistants durant la seconde guerre mondiale


Les engagés sont évalués approximativement à 53000 personnes dans les Forces Françaises libres entre le 18 juin1940 et le 1 août 1943 : parmi eux, 26000 engagés non coloniaux. 96% des engagés sont des hommes et l’âge moyen est de 22 ans. Seulement 3 % sont nés avant 1900.

Les origines sociales montrent une sous représentation des enfants d’agriculteurs (11%) et d’ouvriers (15%) alors que ces deux catégories sociales forment 60% de la population active en 1936.

Les cadres supérieurs du privé ou de la fonction publique, professions libérales sont sur représentés : 16% des volontaires.

Pour des raisons de facilité, les habitants de la façade atlantique et les Bretons sont sur représentés : 41% et 26%

En revanche l’est le midi et le centre sont peu présents tout au moins au début de la Résistance.

Les motivations de leurs engagements sont en général le goût de l’aventure et l’inconscience des jeunes, mais aussi le refus de la défaite et de l’armistice pour les plus âgés. Il n’y a pas seulement les civils qui se sont engagés. Il y a aussi des unités entières militaires qui ont constituées les Forces Françaises.



Les grands résistants


Conscients que cette liste est loin d’être exhaustive, nous avons retenu des grands personnages qui par des faits héroïques ont donné leur vie à la France.

Jean Moulin Guy Moquet Charles Delestraint



Pierre Brossolette Honoré D’estienne D’Orves



Tous ces hommes parmi des milliers connus et inconnus ont combattu l’occupation allemande. De grands chefs, des membres d’un mouvement de résistance, des communistes…tous voulaient revoir la France libre.





 
  Aujourd'hui sont déjà 2 visiteurs (3 hits) Ici!  
 
Ce site web a été créé gratuitement avec Ma-page.fr. Tu veux aussi ton propre site web ?
S'inscrire gratuitement